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Autisme et Décodage

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L'AUTISME

L’autisme est le refus ultime de faire face à la réalité physique du monde extérieur, ce qui amène une forme de repli sur mon monde intérieur où règnent l’imaginaire et les fantasmes.
Je fuis une situation ou mon entourage parce que j’ai trop mal, ou parce que je vois ma sensibilité bafouée. Ma peine, ma tristesse, ma rancoeur♥, mes peurs ou mon désespoir sont tellement grands que je me « coupe » du physique tout en continuant à avoir ce même corps physique. Je me réfugie dans un mutisme qui représente pour moi ma seule façon de m’en sortir car le monde extérieur m’apparaît comme hostile et menaçant. Je peux vouloir éliminer une ou des personnes de ma vie et dans ce dessein, je les ignore, je fais comme s’ils n’existaient pas. Le fait que moi, en tant que personne autistique, je me sois « renfermé » volontairement dans ma « bulle » hermétique implique que je reçoive des milliers d’informations par jour qui sont « emmagasinées » et « stockées » dans mon monde intérieur au lieu d’échanger celles-ci avec d’autres personnes. Je me retrouve dans un trou noir, une route qui me paraît sans issue. J’ai l’impression que les standards que je dois atteindre sont tellement élevés qu’il est plus facile de me retrancher dans un mutisme plutôt que d’avoir à me dépasser constamment et d’avoir à « rendre des comptes » aux autres (parents, professeurs, autorité, patron, etc.). Je me dois d’être « hyper » performant quand je parle.

 

Cela m’amène à aller vérifier des dizaines de fois avant de prononcer une parole car si je me trompe, cela serait catastrophique... Je m’oblige donc à me taire et garder les informations à l’intérieur de moi si ce que je dis n’est pas parfait. C’est comme si ma parole est piégée en moi car je voudrais dire les choses mais la pression que j’ai est tellement grande que je préfère garder le silence.

Dès ma venue en ce monde, je me sentais exclu, différent, marginal. Ma peur qu’on me blesse ou que je ne sois pas à la hauteur des attentes des autres m’amène à me replier sur moi-même. Mon impuissance à accomplir mes rêves et mes ambitions me pousse à vivre dans un monde où personne n’a accès. Je me bâtis une forteresse autour de moi. Je suis en quelque sorte en exil. Cet isolement que je vis met en évidence ce besoin de perfection envers moi-même et me rappelle d’autant plus que je suis qu’un « moins que rien » je suis un échec total car je n’ose même pas essayer. Il arrive très souvent que je sois un enfant hypersensible et que même dans le ventre de ma mère, je pouvais déjà sentir toutes les angoisses et incertitudes de mes parents. Ils pouvaient voir le monde dans lequel j’allais vivre comme hostile.

J’ai décidé de vivre dans ma tête parce que les autres sont dangereux pour moi. Mes états intérieurs présents étaient sûrement semblables à ceux de mes parents (comme c’est toujours le cas puisque nous sommes en résonance). Il est important que les parents conscientisent leur état intérieur qui ressemble au mien (leur impossibilité de communiquer dans certains domaines de leurs vies) afin que tout un chacun sorte de sa prison psychologique.

Mon entourage doit être capable de communiquer à partir de l’intérieur (ou du monde intérieur) avec moi pour m’amener à me connecter de nouveau ou davantage au monde physique. Ainsi, en me projetant dans mon monde intérieur, on est plus à même de prendre contact avec moi et de mieux reconnaître mes besoins et mes peurs pour que je puisse ensuite manifester la confiance et l’ouverture nécessaires pour reprendre contact avec le monde physique.

J’accepte ↓♥ de me bâtir une sécurité intérieure, une confiance en moi, afin de pouvoir reprendre contact avec le monde qui m’entoure. Même s’il peut y avoir un certain risque, je décide de faire le pas, d’aller vers les autres. La vie est faite de défis. Je regarde tous les rêves, tous les projets qu’il m’est possible de réaliser en acceptant ↓♥ de renaître à moi-même et à la vie. Je sais que j’aurai toujours le support nécessaire et l’aide dont j’ai besoin. J’arrête de me critiquer. Je sais que je suis différent, unique, que j’ai des talents précieux et que j’ai toute la liberté nécessaire pour les cultiver, à mon rythme, en toute sécurité.

Jacques Martel
Le Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies

 

Décodage selon Bernard ThionLe Biodico

Le mot "autisme" vient du grec "autos" = soi-même, de soi-même, par soi-même, en opposition à : un autre.

L'autisme est une réaction de défense de l'enfant qui vit la relation à l'autre comme étant destructrice, ce qui le pousse à vivre exagéremment sa vie intérieure, jusqu'à perdre tout contact avec la réalité. Conflit de ne pouvoir exister avec l'autre, avec les autres, dans le monde extérieur. Il n'y a plus aucune communication. Mémoire généalogique d'incommunicabilité. Quand et pourquoi la communication a été impossible ou définitivement coupée parce que trop destructrice ? Quand le cerveau inconscient a décidé qu'il valait mieux fuir la communication et ne rien dire, ne pas exprimer ce qu'on ressent, ne pas agir ?

Conjonction d'un double conflit lié à l'audition (masculin et féminin), d'un conlit de rancoeur ou d'un conlit de peur bleue. Qu'est ce qu'il ne veut plus entendre ? Qu'est ce qui a été entendu et cela a été un drame ? Qui a ressenti de la rancoeur non encore exprimée et non solutionnée ? A propos de quoi ? Qui a été saisi, surpris, par une parole paralysante, au point d'en avoir la parole coupée ?

Conflit de territoire sous-jacent, l'autisme étant une forme de reconstruction solitaire d'un territoire qui est inaccessible en présence des autres. Solution pour échapper à une grande souffrance vers l'âge d'un an ou deux ans, qui a fait que l'enfant s'est senti dépossédé de sa vie. Il faut donc éliminer l'autre, faire comme s'il n'existait pas. Puisque je ne peux plus vivre ma vie, je prends la vie des autres.

Solution au conflit vécu par les parents dans la période des 18 mois avant la naissance. J'adhère au désir inconscient d'un de mes parents (ou des deux) de ne pas parler. J'adhère au désir inconscient famillial d'être l'exilé, celui qui est la preuve vivante de l'exil. L'autisme ou l'exil de soi. Qui n'a pas pu revenir chez lui ? Qui vivait à la maison comme un(e) exilé(e) ? Dans le cas de l'autisme, l'exil est intérieur. L'oreille entend, l'esprit écoute, mais le cerveau ne peut réagir. L'Âme sait, mais le corps reste sans voix. Qui est resté bloqué dans un refus total de communication, de l'action de communiquer ?

L'autisme comme un automate vérifie mentalement si ce qu'il dit est exact et correct, il vérifie, re-vérifie, re-re-vérifie... Conflit de perfectionnisme voué à l'échec.

 

 

Maryline Merel
Accompagnante en Libération des Mémoires 
Passeuse d'Âme "Je vous accompagne sur le chemin de la Transformation Humanitaire"

Contact@secret-esoterique.com

09 64 20 96 88
07 55 62 85 45

 

 

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